mardi 18 septembre 2007

On arrête pas le progrès

Une équipe scientifique du plus haut niveau nous annonce avoir fait une découverte des plus importantes. En effet, l’équipe du professeur Johnson du MIT indique qu’après plusieurs longues séances d’IRMf (Imagerie par Résonnance Magnétique fonctionnelle) sur un panel représentatif de 50 000 personnes, ils ont fait une avancée remarquable dans la compréhension des mécanismes cognitifs ayant trait à l’amour chez l’humain. Par exemple, chez la femme, dans 99% des cas, la perception olfactive inconsciente de phéromones males déclenche une sécrétion massive de sérotonine et de composés corticoïdes dans le lobe sub-temporal droit et l’aire préfrontale droite, mais est inhibée lorsque ces phéromones trouvent une résonnance négative dans l’aire de la mémoire. De même, chez l’homme, un stimulus visuel est en mesure de produire une large production de neurotransmetteur spécifique à l’aire sub-sinusoïdale pré hypothalamique médiane, et inhibe par le même mécanisme l’aire de la mémoire subjacente (fig. 1) .

Figure 1 : mécanismes cognitifs chez l’homme vu par IRM

Grâce à l’étude de ces résultats, les chercheurs ont reconstitué un modèle du comportement amoureux chez l’homme et la femme qui est détaillé ci-dessous (fig 2 et 3)


fig 2, shéma du comportement cognitif amoureux chez la femme



fig 3, shéma du comportement cognitif amoureux chez l'homme.


On peut être scéptique sur les résultats de cette expérience car le panel était composé pour la plupart de texans fans de 50 cent (pour les hommes) et de new yorkaises allant chez un psychanalyste (pour les femmes).

2 commentaires:

Anonyme a dit…

J'espère que tous les hommes ne sont pas comme ça.... *sigh* :x

Sultan Al Batar a dit…

Alleeez soyez simpa, faites comme Lapin, un petit com, merde